Heureusement qu’on a le(s) café(s), à Paris, même si c’est de plus en plus cher (y’a pas d’inflation, bien sûr, mais la machine à café, c’est comme le péage d’autoroute ou le distributeur de ticket de métro, quelqu’un dedans doit s’en mettre plein les poches), s’il est rarement délicieux, si ça pue le diesel, le tabac ou pire sur les terrasses de bistrots, et si y’en a jamais assez dans la tasse …
RF – 11 mars 2016