Saint-Denis-Le-Ferment (qu’on peut orthographier avec ou sans les deux derniers tirets, mais peu importe à moins d’aimer couper les mots comme les cheveux en quatre) est un charmant village du Vexin normand au bord d’une petite rivière, sur la route historique des Mousquetaires (Paris-Londres avant le tunnel) :
- à une (bonne) heure de Paris (sans péage par la route, au demeurant plutôt moins encombrée que d’autres voies d’autour de la capitale, avec plusieurs bornes de recharge sur le chemin pour les conducteurs de véhicules électriques, et avec le « plan B » du train par Gisors si le co-voiturage est compliqué)
- à deux (petites) heures du Ferry Dieppe-Newhaven (pour les amateurs de fish & ships et de bière tiède), et de la plage de Sainte Marguerite (les galets de Dieppe sont magnifiques, mais le sable et les pêcheurs de Quiberville, la cabane du bout de la plage côté Sainte Marguerite, et les falaises au blockhaus effondré sont magiques)
- à (un poil moins de) 7 heures de Chamonix en bla-bla-car, pour les amateurs de montagne, l’honnêteté obligeant à reconnaitre que notre village presque parfait manque de pistes de ski, et que les prévisions météo pour les prochaines années ne sont pas favorables aux sports d’hiver au bord de la Lévrière
Les plus technophile citoyens du village et les télétravailleurs se réjouissant également du haut débit internet, tandis que les habitants aux semelles de vent sont ravis de l’aérodrome du village voisin (mais pour voyager en France, il peut être préférable d’utiliser les pistes de Cergy-Pontoise, tandis que pour visiter l’Europe, l’aéroport de Paris-Beauvais et sa low-cost y afférente est plus adapté, et pour découvrir le monde, les autres aéroports parisiens sont de bonnes options).

Le ciel de Saint-Denis Le Ferment est un bonheur
Cerise sur le gâteau normand, Saint-Denis le Ferment a le bonheur depuis 6 ans, et, croisons les doigts, pour six années de plus si affinités et succès électoral de sa liste CAP2026 (personnellement, je ne verrais aucun inconvénient à ce qu’on vise directement 2038, voire 2050), d’une maire proche de ses concitoyens, efficace pour notre territoire de bonheur, et pour tout dire sans la faire rougir, ni enfreindre les règles électorales, épatante.
Tout le reste (ou presque) est sur le site municipal : http://www.saint-denis-le-ferment.fr, sur la page Facebook du village : https://www.facebook.com/saintdenisleferment/, ou sur celle de CAP2026 « Territoire de bonheur » : https://www.facebook.com/Saint-Denis-le-Ferment-Cap2026-106513940858952/
Renaud Favier – Février 2020
PS : j’oubliais, à Saint-Denis le Ferment, on a aussi (entre autres petits bonheurs) plein de vaches paisibles …

Saint-Denis le ferment est un territoire de bonheur pour les vaches aussi
… de jolis pommiers (on devrait en planter plus, et créer un verger conservatoire, mais gare aux sangliers qui adorent déterrer les jeunes arbres pour fouiller la terre fraichement remuée, et aux biches et chevreuils qui ne détestent pas améliorer leur ordinaire forestier d’écorces et bourgeons d’arbres fruitiers) …

Quelques nouveaux pommiers plantés chaque année, et dans quelques mandatures les abeilles seront en forme olympique
… des chevaux bien élevés (enfin, presque tous, certains sont un poil moins disciplinés, voire plus farceurs que d’autres) …

Un cheval bien élevé ne laisse pas plus de traces sur le bitume qu’un citoyen à deux pattes ne balance de mégots ou autres saletés sur le bord de la route
… et juste de l’autre côté de la route nous séparant du village voisin, un charmant château-hôtel-restaurant entre haras et forêt …

Pas de publicité clandestine (gratuite au demeurant), mais qu’est-ce qu’on mange bien, dans notre petit territoire de bonheur …
C’est un petit coin de paradis, en somme (mais en Normandie).

Le paradis sur terre est à Saint-Denis le Ferment
Quant au trésor des Templiers qui dormirait chez nous au pied d’un vénérable chêne, c’est une légende, tout le monde sait qu’il est à Gisors (comme les morilles).