La fessée infligée aux partis politiciens espagnols reflète moins l’émergence d’alternatives constructives crédibles, que le rejet d’écuries ayant échoué (rappelant en cela les partis français dits « de gouvernement ») à produire autre chose que des champions de l’échec économique et des cracks de la corruption (de la) politique.
Mais Podemos est au pouvoir à Madrid (à Barcelone, c’est autre chose, le régio-nationalisme
L’avenir dira si « Podemos » est autre chose qu’une fuite en arrière.
Mais, what else ?
Une Uber-isation de la vie politique est-elle une option, voire une solution en vieille Europe, notamment en France, où la perte de libido pour la politique semble pousser une inquiétante majorité de cartes d’électeurs entre les fronts de protestationnismes extrêmes et l’abstentionnisme ?
L’idée est, sinon convaincante, intellectuellement stimulante, cf un papier attribué à un certain « Tetreau » (trop lisse pour être vrai, le profil de gendre idéal HEC tchatcheur dans le web est vraisemblablement un avatar avec fiche wikipedia bidon, mais peu importe) dans Les Echos : http://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/021106266923-vivement-l-uberisation-de-la-vie-politique-francaise-1124576.php
Sinon, what else ?
RF – 12 juin 2015